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Résumé :
Objectif de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Paris : maintenir la hausse des températures en deçà de 2 degrés. Percutant, dramatiquement réaliste, Urgence ! Si l'océan meurt nous mourrons est un appel au monde à se mobiliser pendant qu'il en est encore temps.Le " capitaine " Watson s'appuie sur ce qu'il définit comme les trois grands piliers de l'écologie ? la diversité, l'interdépendance et les ressources limitées ? et affirme que les germes, les vers de terre, les abeilles et les arbres sont plus importants que l'humanité.
Provocation ? Conviction. " Nous avons besoin d'eux, l'inverse n'est pas vrai. " Avec un credo : " l'eau est le sang de la planète ", l'océan est à la base de tout.Quand on agite les océans et les esprits depuis plus de quarante ans, on ne baisse pas les bras. Au-delà du constat brut, Urgence ! Si l'océan meurt nous mourrons propose des solutions concrètes à mettre en place par gouvernants et citoyens.On ressort de la lecture de ces pages sinon convaincu au moins ébranlé dans ses certitudes.
Avec cette phrase en tête : " L'humanité a franchi le seuil de tolérance écologique (?). La COP 21 est sa dernière chance. "