
LE PROTOCOLE PELICAN T3 LE PROTOCOLE PELICAN (3/4)
Biographie de l'auteur
Né en 1971 à Fontenay-aux-roses en région parisienne, Richard Marazano est un adolescent passionné d'arts, de politique et de sciences, profondément marqué par la personnalité de Robert Oppenheimer et par le mythe de Prom...
Né en 1971 à Fontenay-aux-roses en région parisienne, Richard Marazano est un adolescent passionné d'arts, de politique et de sciences, profondément marqué par la personnalité de Robert Oppenheimer et par le mythe de Prom...
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Date de parution : 21/02/2013
Biographie de l'auteur
Né en 1971 à Fontenay-aux-roses en région parisienne, Richard Marazano est un adolescent passionné d'arts, de politique et de sciences, profondément marqué par la personnalité de Robert Oppenheimer et par le mythe de Prométhée. Également passionné par le cinéma (Billy Wilder, Lubitsch, Manckievicz, Arthur Penn etc ... la liste est longue) et la littérature russe, Marazano se décide finalement pour des études de physique et d'astrophysique à la faculté d'Orsay, ayant d'abord hésité entre des études de cinéma et de bande dessinée. En définitive, il débute dans le domaine de la bande dessinée, après avoir intégré le très prestigieux atelier des beaux arts d'Angoulême, puis il fréquente l'atelier Sanzot pendant quelques années. Il finit par s'expatrier en Belgique pour profiter de la cinémathèque de Bruxelles et de ses trois films muets quotidiens. Son premier album Humain trop humain, dessiné par Éric Dérian, paraît en 1995 aux éditions Le cycliste. L'année suivante, il publie, aux éditions Soleil, le premier tome de la série Zéro Absolu avec Christophe Bec. Les deux tomes suivants sortent en 1998 et 1999 ainsi qu'une intégrale en 2000. Parallèlement, il publie, toujours chez Soleil, la série en deux tomes Sidney et Howell avec Moraes au dessin. Marazano rejoint ensuite les maisons d'éditions Les Humanoïdes Associés, ainsi que Carabas, pour y publier, entre autres : la série Dusk (2 tomes parus entre 2000 et 2002), dessinée par Christian De Metter ; et Le Bataillon des lâches, one-shot où il s'illustre en tant qu'artiste complet, aussi à l'aise au scénario qu'au dessin ou aux couleurs. En 2003, il crée la série Cuervos, qui se concentre sur la lutte contre les cartels en Colombie. Dessinée par Michel Durand, 4 tomes sont parus entre 2003 et 2006, ainsi qu'une intégrale en 2009, chez Glénat. Cuervos rencontre un important succès critique et remporte des prix prestigieux comme celui de la meilleure bande dessinée adaptable au cinéma lors du festival Cinéma et Littérature de Monaco en 2006. Il rencontre le succès public avec la série de science fiction Le Complexe du chimpanzé, dessinée par Jean-Michel Ponzio, (éditions Dargaud). Cette série a reçu le Grand Prix BD 2008 du Musée de l'Air et de l'Espace et Richard Marazano reçoit également le prix du Meilleur Scénario. Dès lors, Marazano multiplie les projets : Minik avec Hippolyte (éditions Dupuis, 2008), Aguirre (dessin Gabriel Delmas, 2008) et la série Guerrero (dessin Le Gendre, 2008-2009) aux éditions Cabaras, les séries Chaabi (2007-2009) et Genetiks (2007-2010) aux éditions Futuropolis, et enfin la série de deux tomes Eco Warriors (2009-2010) aux éditions 12bis. Chez Dargaud, sont récemment parus Cutie B (2008), Le Rêve du papillon (2010), S.A.M (2011), Le Protocole du Pélican, en collaboration avec son complice Jean-Michel Ponzio, (2011), l'Expédition (2012), Otaku (2012),le Monde de Milo (2013), Alcyon (2014), séries pour lesquelles il réalise les scénarios. Marazano est passionné par les récits de voyage depuis l'Antiquité jusqu'au milieu du 19e siècle mais également par les cultures incas, aztèques, maya, précolombiennes en général ainsi que par les arts précolombiens et océaniens, notamment ceux de Papouasie-Nouvelle guinée. La diversité de ses intérêts se retrouve dans ses oeuvres.
Cet enfant de Marignane développe très tôt un intérêt pour l'illustration. En effet, dès l'âge de dix-huit mois, Jean-Michel Ponzio tient déjà un crayon et dessine. Son avenir est, pour ainsi dire, tout tracé. En 1985, il obtient un brevet de Technicien Dessinateur Maquettiste à Marseille. Il enchaîne avec des études de communication publicitaire à l'École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Arts à Paris en 1986. Il rajoute à son cursus un brevet de Technicien Supérieur en expression visuelle, option « image de communication » en 1989 à Toulouse. Son premier court métrage, « aller retour », diffusé sur Canal+, sera primé au Festival de Gérardmer en 1991. L'image, quelle qu'elle soit, fait partie de son monde et de 1991 à 1995, il s'applique à la réalisation de courts métrages en 3D. C'est ainsi qu'après avoir obtenu un « diplôme d'étude supérieure en imagerie numérique » au CNBDI d'Angoulême, il remporte le premier prix pixel INA dans la catégorie étudiant aux salon « Imagina » à Monaco. De 1996 à 2000, il travaille d'abord chez « Fantôme », sur la série « Insektors », puis chez « Buf companie » sur l'élaboration de décors et de design (futuristes généralement) pour diverses productions cinématographiques et publicitaires. (« Batman et Robin », « Fight club », « s1m0ne », « Heaven » entre autre). En 2001, il fait ses premiers pas dans l'illustration de couverture de livres pour les éditions J'ai Lu. Deux créneaux sont exploités, les oeuvres indépendantes (ex : 2010, 3001 et 3010 d'Arthur c. Clarke) et « le félin agent, secret féodal », une collection pour la jeunesse, (15 tomes). Puis, c'est la bande dessinée qui l'attire le plus avec la parution en mars 2004 de l'album T'ien Keou et en mars 2005 de Kybrilon d'après deux nouvelles écrites par Laurent Genefort. Passionné par un roman de science-fiction qu'il a lu étant adolescent, il parvient à retrouver l'ayant droit et en fait l'adaptation. Cela donnera Dernier exil, mini série en deux albums, éditée aux éditions Carabas. La rencontre avec le scénariste Richard Marazano s'avère fructueuse, puisque plusieurs séries d'albums sont rapidement mises en place, comme Genetiks, Le Complexe du chimpanzé ou encore Le Protocole Pélican. Il signe également chez Carabas une mini-série en deux tomes, et en sol, Les Survivants du silence, et adapte la série tv « plus belle la vie » en roman graphique. Parallèlement à une activité de dessinateur de BD bien remplie, il trouve encore le temps de créer des jeux pour des magazines spécialisés, et de continuer la conception de décors pour des projets de long métrage d'animation pour le cinéma et pour des spots publicitaires.
Cet enfant de Marignane développe très tôt un intérêt pour l'illustration. En effet, dès l'âge de dix-huit mois, Jean-Michel Ponzio tient déjà un crayon et dessine. Son avenir est, pour ainsi dire, tout tracé. En 1985, il obtient un brevet de Technicien Dessinateur Maquettiste à Marseille. Il enchaîne avec des études de communication publicitaire à l'École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Arts à Paris en 1986. Il rajoute à son cursus un brevet de Technicien Supérieur en expression visuelle, option « image de communication » en 1989 à Toulouse. Son premier court métrage, « aller retour », diffusé sur Canal+, sera primé au Festival de Gérardmer en 1991. L'image, quelle qu'elle soit, fait partie de son monde et de 1991 à 1995, il s'applique à la réalisation de courts métrages en 3D. C'est ainsi qu'après avoir obtenu un « diplôme d'étude supérieure en imagerie numérique » au CNBDI d'Angoulême, il remporte le premier prix pixel INA dans la catégorie étudiant aux salon « Imagina » à Monaco. De 1996 à 2000, il travaille d'abord chez « Fantôme », sur la série « Insektors », puis chez « Buf companie » sur l'élaboration de décors et de design (futuristes généralement) pour diverses productions cinématographiques et publicitaires. (« Batman et Robin », « Fight club », « s1m0ne », « Heaven » entre autre). En 2001, il fait ses premiers pas dans l'illustration de couverture de livres pour les éditions J'ai Lu. Deux créneaux sont exploités, les oeuvres indépendantes (ex : 2010, 3001 et 3010 d'Arthur c. Clarke) et « le félin agent, secret féodal », une collection pour la jeunesse, (15 tomes). Puis, c'est la bande dessinée qui l'attire le plus avec la parution en mars 2004 de l'album T'ien Keou et en mars 2005 de Kybrilon d'après deux nouvelles écrites par Laurent Genefort. Passionné par un roman de science-fiction qu'il a lu étant adolescent, il parvient à retrouver l'ayant droit et en fait l'adaptation. Cela donnera Dernier exil, mini série en deux albums, éditée aux éditions Carabas. La rencontre avec le scénariste Richard Marazano s'avère fructueuse, puisque plusieurs séries d'albums sont rapidement mises en place, comme Genetiks, Le Complexe du chimpanzé ou encore Le Protocole Pélican. Il signe également chez Carabas une mini-série en deux tomes, et en sol, Les Survivants du silence, et adapte la série tv « plus belle la vie » en roman graphique. Parallèlement à une activité de dessinateur de BD bien remplie, il trouve encore le temps de créer des jeux pour des magazines spécialisés, et de continuer la conception de décors pour des projets de long métrage d'animation pour le cinéma et pour des spots publicitaires.