
36,00 €
Description :
Yuna est une femme de 45 ans qui n'avait jamais envisagé auparavant d'adopter un chien. Avec son mari, ils finissent par en adopter deux : le premier, Carotte, est un corgi mâle de 2 ans. Le second, Patate, est un chien bâtard d'un an. Ils vivent à la campagne à une heure de Séoul. Là, Ils peuvent croiser tous les jours des chiens abandonnés par des gens de la capitale venus dans la région s'en débarrasser. D'autres chiens sont parfois enfermés dans des cages où ils peuvent à peine se tenir debout, maltraités, et mal nourris par leur maître. Avant de disparaître. Ces chiens-là se font tuer pour leur viande. Car les chiens sont considérés en Corée (comme dans d'autres pays d'Asie) comme un mets bon pour la santé.Une facette peu connue de la Corée : les chiens, point de discorde dans le pays ! Animal élevé pour être mangé ou animal de compagnie, c'est même un enjeu des élections en 2022. Keum Suk Gendry-Kim nous livre un récit sensible, qui expose la violence des humains et nous conte l'histoire de son pays, la société contemporaine, et les gens qui y vivent.
Notes Biographiques :
Keum Suk Gendry-Kim se découvre très tôt une passion pour l'art et plus particulièrement le dessin qu'elle pratique depuis l'âge de 12 ans. Arrivée tardivement dans le monde de la bande dessinée, elle y a trouvé une forme d'expression qui lui convient, et qui séduit : en 2010 elle a été publiée par différents éditeurs, et 2012 verra son premier récit long paraître chez Sarbacane, le très beau Le chant de mon père. Elle a également été remarquée pour son travail en tant que traductrice de bande dessinée coréenne (Vertige Graphic, Cornélius, Atrabile, Sai Comics, Casterman, Kana...) : plus de 100 titres traduits. " ...Gendry Kim, une perle de la culture coréenne. " Revue DBD, janvier 2012 Keum Suk Gendry-Kim se découvre très tôt une passion pour l'art et plus particulièrement le dessin qu'elle pratique depuis l'âge de 12 ans. Arrivée tardivement dans le monde de la bande dessinée, elle y a trouvé une forme d'expression qui lui convient, et qui séduit : en 2010 elle a été publiée par différents éditeurs, et 2012 verra son premier récit long paraître chez Sarbacane, le très beau Le chant de mon père. Elle a également été remarquée pour son travail en tant que traductrice de bande dessinée coréenne (Vertige Graphic, Cornélius, Atrabile, Sai Comics, Casterman, Kana...) : plus de 100 titres traduits. " ...Gendry Kim, une perle de la culture coréenne. " Revue DBD, janvier 2012