C’est dans un Tokyo contemporain, avec son lot de violences urbaines, prostitution, crimes, vols, que le jeune Kazuya vaque à son devoir. Entouré de Kyosuke Hojo sorti tout droit de Todai et promu à devenir cadre, d’un chef procédurier et de collègues pas toujours proprets, il sème une belle pagaille autour de lui tout en rendant justice. L’auteur dénonce au travers de son manga, le dysfonctionnement au sein de la police japonaise, la corruption et les nouvelles formes de criminalités, le tout avec le sourire.

Flic à Tokyo se situe dans la même veine que GTO auquel on le compare facilement. Sans vraiment égalé son prédécesseur, ce titre reste plaisant, mais n’inspire pas autant d’engouement du moins en ce qui concerne ce tome. La suite nous prouvera peut-être le contraire.
Reste que les amateurs du genre y trouveront leur compte et passeront un bon à voir la police ainsi bousculée et caricaturée... (Critique de www.manga-news.com)